Il est 6h57 le 28/05/2023 et c’est la deuxième fois que je commence cet article. J’ai détruit le premier commencement il y a à peu près deux secondes sans faire exprès. BIG CRUNCH. C’était juste après avoir dis que la force c’était de pouvoir détruire les univers mentaux et non pas de passer de l’un à l’autre. J’ai découvert en moi l’enfant de trois ans cherchant désespérément une issue. Il cherchait une issue après avoir été pris sur le fait en train d’éparpiller des médicaments et peut-être les avoir ingéré : Des anxiolytiques dont la fonction est de rassurer les peurs en détournant le regard. D’ailleurs je l’ai sûrement rassuré (qui était là ?) en lui disant « Ils sont bons, les bonbons » ou pas du tout en fait. Et puis j’ai du la rassurer en lui disant « Ho les beaux papillons » ou pas du tout en fait. Et puis j’ai du rassurer tout le service de l’hôpital lorsqu’à peine (terminé quoi ?) je pédalais à toute vitesse sur un vélo dans le couloir alors qu’apparemment ça n’aurait pas du être le cas à moins que je ne les ai pas vraiment rassuré. Je n’ai fais que leur détourner le regard de comment c’était en moi. Voilà comment c’était en moi avant :
- PULSATION- HOURRA !
Vous trouverez le sommaire en descendant lentement jusqu’au bas de la page et en remontant jusqu’ici à nouveau lentement. Refaite le une ou deux fois, en rythme avec vos battements cardiaque et avec votre respiration et cela sera la meilleure manière de bien me comprendre.
Nous sommes au petit matin du 26 mai 2023. Cela fait maintenant 36 années 5 mois, 22 jours, quelques heures, quelques minutes, quelques secondes etc…
Un effet gourou se cache-t-il dans ce billet ?
Où en apparence, j’ai tendance à perdre des choses désirées. Je ne les perds jamais très loin pour pouvoir les retrouver. Je ne trouve jamais assez de place dans mon esprit pour enregistrer tout le formidable savoir apparaissant du monde. Tout ça à cause de la distraction absolue représentée pour moi par l’univers inconnu. Top là Spinoza, Darwin, Einstein ! Vous faites le plein, je fais le vide. Je cherche inlassablement un modèle pour classer toutes les choses de l’univers car c’est le modèle qui m’intéresse au delà des choses. Vous le trouverez vite, si vous commencez par le début.
Quand j’ai tendance à avoir le rythme dans la peau, j’ai toujours de l’avance ou du retard sur mes rendez-vous. Tout ça, à cause de mon insatiable lutte contre le désir de renverser le temps. Top là Docteur Who ! Il remonte et redescend fictivement le fil du temps. Comme vous je ne suis monté ni à l’endroit ni à l’envers par rapport au sens de la vie. Pour vous, maintenant, je suis seulement désordonné, à moins que ?
- A votre avis Mens-Je ? Je
Donne beaucoup trop de confiance au bouleversement et à la vérité alors que ce ne sont que des jouets.
Partage toutes les peurs y compris par mégarde celles qui vous font peur.
Ne reste jamais très loin de ce qui me dégoute au lieu de m’en éloigner.
Peux créer intentionnellement des contradictions plutôt que lutter activement contre celles-ci.
Produit l’ennui à répétition plutôt que le plaisir à répétition alors que l’ennui c’est ennuyant à mourir.
Enfin ce qui me rend triste, c’est lorsque je vois en vous (qui ? ceux que j’ennuie à mourir) des signes de tristesse plutôt que de surprise… Au lieu de voir en moi mon besoin de surprendre. Je cherche à attirer l’attention avec la vérité mais c’est un échec cuisant sans cesse renouvelé. En vérité lorsqu’on arrête pas d’essayer de dire la vérité c’est le mensonge qui devient intéressant. Car la surprise née de la diversité et non de la répétition. En plus cela me rend bien plus triste que vous ne l’êtes en réalité.
Si on me complimente, j’en ignore la potentielle joie.
Je me méfie de l’excès de confiance comme de la peste au lieu de lui faire confiance et de lui demander conseil. Alors cet excès de confiance est-il en moi ?
Et je lutte opiniâtrement contre l’excitation qui domine absolument toute ma vie au lieu de l’anticiper.
En gros, cela fait de moi un être plutôt branché-empathique, cela peut donner le pire comme le meilleur… C’est pour tout le monde pareil vous me direz ! Je vais essayer de faire entre les deux. Les plug-ins Word-Press semblent me dire que la lisibilité est absolument nulle… Je ne vous conseille pas forcément de commencer par la fin. Mais pour ne pas vous mettre en colère je vous laisse faire votre choix et j’assume.
- FIN – REMERCIEMENT – FEUX D’ARTIFICES !
Tout ça c’est fini. Je vais partager le casse-tête, un modèle de fouille mental, avec vous. Je vous préviens c’est embêtant ! J’ai adoré Skinner je m’y suis accroché à ses mots plein de vérité et je n’ai pas détesté ces traitres de Freud et Lacan pour vous dire avec leurs mensonges si bien ficelés. J’ai juste cherché à m’en éloigner et je n’ai fais que tourner autour. Le Casse tête se fabrique depuis la plus tendre enfance, toujours le même, au fil des rencontres avec le savoir et le vide. Je remercie chaleureusement la communauté ACBS et ses brillants chercheurs et psychothérapeutes reconnus de la TCR pour la théorie des cadres relationnels et ses usages. Remercions aussi les enseignants de psychologie pour leur travail de souris (oui j’ai pas dis fourmis, alors pourquoi ?). Paul Gilbert et Choden également pour leur présentation des trois systèmes émotionnels. Et si je devais continuer la liste, elle serait longue à n’en plus finir.
Honnêtement la politesse, le respect et la reconnaissance ont tendance à me filer les chocotes à cause de la longueur des listes que je devrais faire. Je ne suis peut-être pas encore tout à fait près à affronter cela. Peut-être même jamais ! Ben oui en fait.. qui est près de moi en ce moment afin que je lui témoigne réellement de ma sincère affection ? Venez me trouver j’ajouterai votre nom et vos références avec plaisir en bas de l’article.
Cependant je vais m’attacher à remercier la personne la plus importante de ma vie, c’est ma femme et ça c’est merveilleux et cela va continuer toute la vie. Je veux aussi remercier mes enfants, ils sont des trésors incroyables de richesses. Ma famille élargie a vraiment beaucoup de mérite également. A côté de ça ce que j’ai fais dans ce que je vous présente n’est que de la récup mais j’y tiens un peu. Mon travail n’a pas beaucoup de valeur en soi mais je lui en ai énormément attribué. Parfois à en perdre un peu la tête. Aujourd’hui, le casse tête, tel qu’il est, est, il me semble beaucoup plus sain que ce qu’il a été. Je vous l’offre car je suis sûr qu’une grande partie, peut-être même la totalité et plus encore est déjà à vous.
Aussi, je vais me différencier de mes mots car nous ne sommes pas souvent synchrones. Je vais mettre des conditions à mes besoins pour éviter de franchir les limites des autres. Je vais répondre aux besoins de mes proches et personnes à qui j’accorde de l’importance . Pour mes proches j’y répondrai même au delà de leurs attentes. J’anticiperai autant que possible mes choix et la valeur de mes choix. J’annihilerai les peurs fantoches en allant les trouver avec tous mes sens. Je rejetterai l’évitement des choses qui me concernent. Je lutterai de toutes mes forces contre les oppositions.
- ENTRE LES DEUX REMUSER : S’AMUSER INFINIEMENT AVEC LE MEME OBJET CONTRADICTOIRE : CASSE TÊTE
Faire le vide pour attirer le plein est une stratégie connue, ancienne. J’ai utilisé cette stratégie pour construire des mots médians et les placer entre des antonymes selon mon intuition d’empathe.
Je ne sais pas si mon intuition a véritablement donné de la force par rapport à ce qui existe déjà. J’ai seulement hiérarchisé avec acharnement, organisé les grandes différences de langage, d’information depuis tout petit. Je livre en pâture, une fonction brut pour les matheux et les psychologues matheux.
F(z)=Ax+By pour A et B incluant l’infiniment petit et l’infiniment grand entre -1 et +1 pour x=y=1. Je vous laisse apprécier les relations entre x y et z…. elles m’ont semblées équivalentes entre elles. Y-a-t-il là commutativité ou bijectivité… je te laisse le soin de le déterminer toi le fonctionnaliste. Comme je ne suis pas mathématicien je ne vais pas m’aventurer très loin sur ce terrain. Je veux seulement ajouter que x y et z se ressemblent comme des fractals mis en boucle… alors à quoi ça ressemble je dirais à une coquille d’escargot, avec l’escargot dedans ? A moins que cela ne soit l’inverse. La coquille est dans l’escargot.
- ORGANISATION PULSATIVE DES EMOTIONS, CADRES RELATIONNEL, EMOTION : LA FONCTION DU PROCESSUS COMPORTEMENTAL
Où je définis la fonction comme une information mathématique pure, le processus comme un chemin avec un début et une fin sans cesse renouvelable qu’elle trouve pour se transformer en comportement sans cesse en évolution. A moins qu’il existe des « problèmes » de synchronisation. Y-a-t-il trois six ou neuf grandes structures mentales. A moins qu’il n’y en ai une infinité car dans chaque structure s’en cachent neuf autres.
Z La voie des cadres relationnels (pour ceux qui connaissent):
DOWN => où ? par quoi ? contraires ? et ? différent ? si… alors… ? le même ? + encore ? quand ?=> TOP
Le down ne peut pas être inversé avec le top je crois… par contre on peut les faire glisser et ça donne donc le sentiment d’une inversion et pas une véritable inversion.
Exemple pour moi (j’ai souvent 3 ans dans ma tête) c’est monté comme une IRM : DOWN => et avec CA (ça = inconnu peur) et avec ça et avec ça et avec ça et avec ça et avec ça et avec ça et avec ça et avec ça et avec ça et avec ça et avec ça et avec ça et avec ça et avec ça…ce sera tout ? non non.. et différent ?et si… alors… ?et le même ? et + encore ? et quand ? et où JE ? et par quoi ?et contraires ? => TOP
Z Information émotionnelle : IN=>Peur=>dégout=>colère=>ennui=>surprise=>tristesse=>joie=>confiance=>excitation => OUT
Z Force comportementale :
MORT=>DETRUIRE=>EVITER=>CONTRER=>PARTAGER=>COMPARER=>BESOIN =>REPRODUIRE=> HIERARCHISER => ANTICIPER=> VIE
Pour plus de simplicité en ce qui me concerne, étant branché émotion, quand je vois les gens je fais glisser les émotions sur les forces plutôt que les cadres. Si vous me le demandez, je travaillerais à plus de « et avec ça » dans chaque case. C’est facile pour moi de nommer. Car chaque émotion est multiple. Il y a la peur du côté de la peur, la TERREur nocturne ? et la peur du côté de la surprise, l’HOrreur. La peur du coté de l’excitation le FREE-SON ou le FLIPPER. La peur du côté du dégout l’ANgoisse. Ma préférée est la peur du côté de l’ennui et du partage L’êtrANGEjeté. Là je regrette un peu d’avoir ignoré Lacan car il était balèze aussi en mot valise. Heureusement avec mon épouse on s’est rattrapé avec Lewis Caroll. Je suis le lapin blanc qu’elle cherche, vous lui direz donc où me trouver ? Au fond du terrier des songes.
z = FONCTION DU PROCESSUS COMPORTEMENTAL
|
x=-1 MENACE | x=0 AFFILIATION | x=1 MOTIVATION |
y=1 ABSTRACTION | PEUR
SPATIAL : où ? DETRUIRE |
ENNUI
COORDINATION: et ? PARTAGER |
JOIE
EQUIVALENCE le même ? REPRODUIRE |
y=0
VOIE |
DEGOUT
PERSONNEL par quoi ? EVITER |
SURPRISE
DIFFERENCE différent ? COMPARAISON |
CONFIANCE
HIERARCHISER + encore ? CHOISIR |
y=-1
FORCE |
COLERE
OPPOSITION contraires ? CONTRER |
TRISTESSE
CONDITION si… alors…? BESOIN |
EXCITATION
TEMPORALITé quand ? ANTICIPATION |
En Clinique cela m’a permis de proposer aux gens d’évoluer sur un chemin stratégique comme les humains auraient pu apprendre à s’adapter à la présence des ours. Je ne connais pas le fil réel de l’évolution mais cela semble plausible. J’ai vu que le modèle évolutionniste c’est une voie explorée par les chercheurs en TCR alors peut-être y trouveront-ils à redire ? C’est du moins une belle histoire donnant envie de s’en inspirer.
- L’HISTOIRE DE L’HOMME QUI ETAIT UN LOUP POUR L’OURS QUI ETAIT UNE INFORMATION POUR L’HOMME.
Dans cette histoire d’abord l’homme aurait cherché à détruire la possibilité de rencontre avec l’ours sans savoir de quoi il s’agissait. Savoir où ça bouge c’est suffisamment effrayant, BOUH ! Notez bien c’est important voici le début de la direction soit je le butte soit je me terre : Où Ou… Houhou disent les loups (c’est chouette les loups) !
Ensuite, l’homme aurait simplement évité les ours et là l’identification de celui ci peut avoir lieu. Pour cela notez bien c’est important : nous tournons autour. Comme les électrons tournent autour des noyaux etc… C’est pas à moi ce truc qui bouge beurk ! Je tiens a préciser qu’il y a aussi des trucs qui bougent en nous et qui nous répugnent à juste titre : les excréments. J’aurais envie d’y mettre le sommeil aussi… Ben, on a beau détester ça, c’est jamais très loin qu’un éternel recommencement avec ces choses.
ET après, l’homme s’est peut-être mis à s’opposer aux ours par exemple par la compétition de territoire avec des barricades, avec le feu, avec des chiens. Il va pas venir sur mon territoire !! Il n’y a rien qui ne nous domine plus dans notre vie que ce contre quoi nous luttons.
Après, les hommes se seraient mis à partager leur problème d’ours. Et qu’est ce qu’on fait avec cet ours ? pffffffff
Ensuite, ils se seraient comparés aux ours en les dessinant sur le mur des grottes ? En écrivant leur nom. En matérialisant l’information que représente les ours dans la vie humaine. Ours gros et moi pas gros. Ho ! Ours mamelle et moi pas différent à ce niveau.
Puis ces comparaisons entrainent le questionnement des buts et des intentions des ours et des hommes. Alors on retourne les observer parce qu’on ne se souvient plus on cherche à mieux les décrire et on voit ce qu’ils font. Mais pourquoi j’ai dessiné cet Ours là ? Et pourquoi les ours m’obsèdent tant ? Et pourquoi cet ours s’approche de la ruche d’abeille ?
Ensuite en voyant l’ours se régaler du miel, l’homme aurait cherché à imiter certains aspects positifs du comportement des ours.
Ensuite, les humains, en voulant plus encore que les autres, dépassent les ours par la possibilité de les attirer avec des appâts puisque les besoins des ours sont connus. Les hommes auraient alors pu piéger les ours, les capturer.
Enfin, cette histoire se terminerait avec la possibilité assez extra-ordinaire d’intégrer l’ours dans la société humaine à une place définie d’animal dompté. Ce qui apporte le bénéfice à la communauté humaine de pouvoir s’attribuer toutes les qualités de l’ours, + encore et de se demander ce que l’homme pourra bien dominer demain depuis sa butte. L’homme aspire donc-t-il à dominer plutôt que butter…. ?
Tout ça pour après regarder avec les patients comment leurs comportements quels qu’ils soient sont situés sur le chemin et l’effet que cela a si ça avance ne serait ce que d’un pas.
- LE PROFILAGE COMPORTEMENTAL EMOTIONNEL RELATIONNEL
Après cette expérience, l’intuition du modèle m’a amené à faire du profilage et ce de façon assez rapide à condition d’avoir le modèle sous les yeux et des cartes pour placer et déplacer des mots dessus…
La société humaine a tendance à transmettre un fouillis incompréhensible d’informations à propos des émotions. Un tel est dominé par la surprise alors qu’il devrait s’en différencier. Un autre est dominé par la peur alors qu’elle n’existe pas là d’où il la fuit mais là où il se trouve en se cachant. Tel autre est dominé par l’excitation alors qu’il devrait l’anticiper (depuis le temps). Bref les émotions dominantes sont les émotions contre lesquelles lutte le patient, elles sont les plus perceptibles. Au contraire les émotions détruites sont les plus difficiles à débusquer car elles entrainent un comportement paradoxal (si j’ignore la joie je ne vais quasiment jamais pleurer sauf quand cela touche les autres). Si j’ignore la surprise, je réclamerai en permanence des bonnes surprises et je ferais des présents et je serais prévenant, très prévenant…avec une angoisse d’abandon qui sera tellement violente qu’on ne verra pas la surprise qui se cache en dessous. Si j’ignore la colère j’adorerai la bagarre je contredirai tout le monde à tel point que personne ne rentrera dans le conflit. Etc.. etc…
Honnêtement avec un peu de recul cette fonction z me semble être la fonction de la vacuité. Tout et n’importe quoi à l’air de pouvoir en sortir et peut-être bien dans n’importe quel ordre pourvu que tout soit relié à tout en même temps. La « synchronicité » semble rester une affaire de choix personnel. Autrement dit lorsque la TCR nous informe que les fonctions des mots peuvent varier d’un individu à l’autre je dirais même que plus l’individu est verbalement compétent, plus il est en mesure de relier tout à tout et plus les fonctions de ses mots vous échappent et ne deviennent plus que des histoires à l’issu incertaine pour le « récepteur ». Je pense que l’issu correspond au model que je vous ai décrit.
- PHILOSOPHES l’objet que je vous ai filé est simplement un :
CAPTEUR D’INFORMATION VERBALE : LE BON SENS DANS Un ORDRE donné..
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IN DOWN MORT
DESCENDEZ TOUTDROIT |
DESCENDEZ
ENTRE LES DEUX |
DESCENDEZ
ENTRE LES DEUX |
Vacuité | BIG BANG L’information s’annihile
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Il faut créer le vide entre l’information et nous | C’est reproduire à peu près la même vie, avec ses recherches, ses histoires, ses guerres, ses amoures, ses enfants, ses maladies, ses remèdes etc… à ceci près… |
Concretisation | Les Informations existent en tant que chemin elles peuvent tourner autour de l’univers sans jamais que l’univers ne les atteignent | Pour que naisse la vie. Sinon, il ne se passe absolument rien. La mort est une fausse information. L’anéantissement plus exact. L’annihilation est la vérité. Elles ont toute de la valeurs mais la vie en a bien plus. | qu’elle est encore plus grande….de nouveaux mots pour de nouvelles choses qui captent mieux l’information. |
Abstraction | Nous sommes les choses collées à l’information nous ne les créons pas : elles se terrent au fond de notre crane car nous tentons de les intercepter mais | et le but de la vie | et dominera un jour toute l’information qu’elle soit vraie ou fausse, utile ou inutile, désirable ou indésirable que sais-je encore, sans que l’information ne puisse la détruire. |
REMONTEZ TOUT EN HAUT A COTE = AU MILIEU | REMONTEZ A DROITE | OUT TOP LIFE
RECOMMENCEZ |
Je ne sais pas si l’ordre donné peut bouger… mais moi j’aime quand ça bouge et ça renverse !
ET DEBUT ET DEBUT ET DEBUT ET DEBUT ET DEBOUT LA DEDANS !!